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mercredi 29 octobre 2014

Campagne vaccination anti-grippale gratuite

Ce matin des membres de l'association ( Sarah et Diane, un grand merci à elles), ont distribué des informations concernant la campagne de vaccination gratuite de la grippe saisonnière par les idels de l'aisbt (cf article sur midi libre jeudi 30.10.14).
Nous vous rappelons que :
Jeudi 30 octobre et vendredi 31 octobre ,
de 11 heures à 17 heures, 
au siège de l' Association, 
 l'AISBT organise une campagne de vaccination anti-grippale gratuite, 
avec prise de TA, pulsation , mesure glycémique, 
dans le but de sensibiliser la population sur notre profession et nos compétences.
Nous devons défendre notre métier...


Nous acceptons toutes bonnes volontés pour donner un coup de main !!! 
Nous programmerons sûrement une action similaire la semaine prochaine et vous tiendrons informés par mail, si vous avez d'autres idées, n'oubliez pas de nous en parler, tous unis nous avons plus de poids !

mardi 21 octobre 2014

L'association TAMARI 06 , organisme de formation agréé OGDPC propose une soirée

Le virus EBOLA : protéger ses patients et se protéger soi-même

le 10 décembre 2014 à Montpellier....

Voici le lien de leur site www.tamari06.org

Maladie à virus Ebola : recommandations sanitaires (source ameli.fr)

Maladie à virus Ebola : recommandations sanitaires

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Article mis à jour le 13 octobre 2014
L'épidémie de maladie à virus Ebola est toujours en progression dans les 3 pays d'Afrique de l'Ouest (Guinée, Sierra-Léone, Libéria) initialement impactés par la maladie.
Le risque d'importation en France du virus Ebola par le biais des voyageurs reste faible mais ne peut être exclu.

Dans ce cadre, votre rôle est primordial pour repérer et signaler rapidement un cas suspect et ainsi mettre en œuvre dans les plus brefs délais toutes les mesures permettant de le prendre en charge, de le soigner et de prévenir toute contamination secondaire.

Il est particulièrement important devant tout patient fébrile ou subfébrile (38°) revenant de la zone épidémiqued'alerter le 15, d'isoler le patient, de lui faire porter un masque et de vous protéger.

Pour accéder à toutes les recommandations disponibles pour votre pratique professionnelle ainsi qu'à des informations validées sur la maladie et les modes de contamination pour vos patients :
Pour vous informer en temps réel des alertes et des urgences sanitaires :
*Sierra Leone, Guinée-Conakry, Libéria, Nigéria, et la province de l'Équateur en République démocratique du Congo (« Congo-Kinshasa »).

Du nouveau pour le DPC




NOUVELLE MESURE A COMPTER DU 17/10/2014



Madame, Monsieur,
Afin de permettre à chaque professionnel de santé de répondre à son obligation annuelle, il a été décidé de limiter la prise en charge des programmes de DPC à compter du 17 octobre 2014 (soit ce soir 00h00), à l'exception des formations de formateur et maitrise de stage.
·        • Si vous avez déjà validé votre obligation annuelle de DPC en 2014 :





o pour toute inscription réalisée avant le 17 octobre 2014, même pour des programmes débutant après cette date, vous serez bien pris en charge dans les conditions prévues et la limite de votre enveloppe annuelle ;
o toute nouvelle inscription réalisée à partir du 17 octobre 2014, sera soumise à la limitation mise en place.
·        • Si vous n’avez pas encore validé votre obligation annuelle de DPC en 2014 :

o à compter du 17 octobre 2014, vous pouvez toujours vous inscrire par le biais de votre espace personnalisé sur www.mondpc.fr. 
En pratique, si vous avez dépassé le nombre de programmes autorisés, vous verrez alors apparaître en bas de votre écran lors de la recherche d’un programme, le message suivant : « Vous ne pouvez pas vous inscrire à cette session. Vous avez dépassé la limite du nombre d'inscriptions pour l'année 2014 ».
Bon à savoir : seule l’inscription réalisée par le professionnel (ou la validation par ce dernier de son inscription si celle-ci est réalisée par l’organisme) confirme la prise en charge par l’OGDPC si elle doit avoir lieu.    
• Pour tout problème technique rencontré sur www.ogdpc.fr : 
- vous pouvez nous adresser un courriel à 
dpc.hotline@ogdpc.fr
- ou nous appeler au 01.76.21.59.00 du lundi au jeudi de 9h à 12h30 et de 13h30 à 17h30, et le vendredi de 9h à 12h30 et de 13h30 à 16h30.

• Pour toute question relative au dispositif de DPC, sa mise en place et à l'OGDPC :
- vous pouvez nous adresser un courriel à 
infodpc@ogdpc.fr
- ou nous appeler au 01.48.76.19.05 du lundi au jeudi de 9h à 12h30 et de 14h à 16h30, et le vendredi de 9h à 12h30.

Nous vous prions d'agréer, Madame, Monsieur, l'expression de nos salutations distinguées.
L'équipe OGDPC

Les informations recueillies font l'objet d'un traitement informatique destiné à la gestion et au suivi de vos dossiers par les services de l'Organisme Gestionnaire du Développement Professionnel Continu (OGDPC). Conformément à la loi "informatique et libertés" du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d'un droit d'accès et de rectification aux informations qui vous concernent que vous pouvez exercer en vous adressant à Mme Zeinabou BAH - CIL de l'OGDPC - 93 avenue de Fontainebleau - 94276 Le Kremlin-Bicêtre Cedex. Vous pouvez également, pour des motifs légitimes, vous opposer au traitement des données vous concernant. Les communications de l'OGDPC (Organisme Gestionnaire du DPC) sont des courriels informatifs importants, relatifs à la gestion de votre espace personnel et au suivi de votre DPC (Développement Professionnel Continu). Si vous souhaitez vous désinscrire aux courriels d'information du service communication de l'OGDPC, cliquez ici (non recommandé). 

Signalement de quatre cas autochtones de Chikungunya dans l’Hérault

Le 20 octobre 2014, le centre national de référence (CNR) des arboviroses a confirmé l’existence de quatre cas autochtones de chikungunya dans l’Hérault. Les patients, de la même famille et résidant dans un même quartier de Montpellier, sont guéris et en bonne santé. Afin de prévenir toute dissémination du virus, et conformément au plan national anti-dissémination de la dengue et du chikungunya, le département de l’Hérault est désormais placé en niveau 3 du plan. Les mesures de surveillance épidémiologique et entomologique sont renforcées et des actions de démoustication sont en cours autour de la zone de résidence des personnes contaminées. 



Le risque de développement d'une épidémie est considéré comme faible mais ne peut être exclu, en raison de l’implantation importante du moustique Aedes albopictus (moustique tigre) dans le département de l’Hérault. 

Vous pourriez être amenés à voir en consultation des personnes présentant des symptômes évocateurs du chikungunya. 

Le dispositif spécifique de signalement des cas suspects et de confirmation biologique actif depuis le 1ermai est donc étendu aux suspicions de cas autochtones (personnes n’ayant pas voyagé). Une fiche d’information sur le diagnostic, le signalement, le traitement et les mesures de prévention est disponible à votre intention:http://www.sante.gouv.fr/IMG/pdf/Prevention_chik_et_dengue_professionnels_de_sante_2014-2.pdf 



Pour tout signalement, vous pouvez joindre la Plateforme de Veille et d’Urgence Sanitaires Languedoc-Roussillon : 

téléphone 04 67 07 20 60, mail ars34-alerte@ars.sante.fr , fax 04 57 74 91 00 

Les informations nominatives doivent être adressées de préférence à ars-lr-secret-medical@ars.sante.fr / fax 04 57 74 91 01 (en dehors des heures ouvrées, merci de doubler tout envoi urgent d’un appel téléphonique)



Informations complémentaires sur : http://www.sante.gouv.fr/le-chikungunya.html 

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Inscrivez-vous à la lettre d'information
Les messages "dgs-urgent" sont émis depuis une boîte à lettres 'DGS-URGENT@dgs-urgent.sante.gouv.fr'. 
Pour vérifier qu'ils ont bien été émis par une personne autorisée du ministère de la santé, consultez la liste des messages, disponible sur le site Internet du ministère. 
Pour y accéder, https://dgs-urgent.sante.gouv.fr/ 

Source : DGS / Mission de l'information et de la communication / Département des urgences sanitaires 

La vaccination anti-grippale fait parler .... (source La Croix)

La vaccination par les pharmaciens suscite le débat

Le ministère de la santé souhaite donner aux pharmaciens la possibilité de vacciner dans leurs officines, ce qui provoque l’irritation des médecins et des infirmières.

20/10/14 - 17 H 32
Vaccination par une infirmière. Le projet est loin de faire l’unanimité, même chez les pharmaciens.
THIERRY ZOCCOLAN/AFP

Vaccination par une infirmière. Le projet est loin de faire l’unanimité, même chez les pharmaciens.

AVEC CET ARTICLE

UN PROJET POUR SIMPLIFIER LES DÉMARCHES

Le projet de loi sur la santé, présenté la semaine dernière par Marisol Touraine, prévoit d’étendre les compétences des pharmaciens en matière de vaccination. Si le texte est voté en l’état, ces derniers pourront vacciner directement dans leurs officines.
Selon le ministère, cette mesure pourrait permettre d’augmenter la couverture vaccinale qui, en France, reste parfois insuffisante, en particulier pour le tétanos chez les adultes. « Chaque jour, 3,5 millions de personnes poussent la porte d’une de nos officines. Nous sommes donc bien placés pour amener à la vaccination des personnes qui vont très peu souvent chez le médecin », indique Philippe Besset, vice-président de laFédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF).
Comme l’indiquait, en 2011, l’Inspection générale des affaires sociales(Igas), cette mesure pourrait simplifier le circuit d’accès à la vaccination : en dehors de certaines campagnes organisées comme pour la grippe, il faut en effet aller chez son médecin se faire prescrire son vaccin, aller le chercher à la pharmacie puis retourner au cabinet médical pour la piqûre.

MÉCONTENTEMENT DES MÉDECINS ET DES INFIRMIÈRES 

La mesure suscite une levée de boucliers. « La campagne contre la grippe H1N1 a montré que ce n’est pas en mettant de côté les généralistes ni en éclatant les lieux de vaccination qu’on parviendra à rétablir la confiance des Français dans ce geste de protection qui reste un acte médical », estime le docteur Claude Leicher, président du syndicat MG-France.« Quand un patient vient chez son médecin traitant, juste pour recevoir un vaccin, c’est aussi l’occasion d’évoquer avec lui sa santé, de prendre sa tension, de parler un peu de prévention. Ce n’est pas une consultation inutile », plaide le docteur Jean-Paul Ortiz, président du syndicat CSMF.
Présidente du Sniil, un syndicat d’infirmières libérales, Annick Touba met en avant le manque de formation des pharmaciens. « Injecter un produit dans le corps humain demande une compétence spécifique qui est du ressort des médecins et des infirmières », affirme-t-elle. Un argument que prend en compte Philippe Besset. « Nous ne nous engagerions dans cette nouvelle mission qu’à la condition d’avoir une formation. C’est ce qui a été fait en 2007 au Portugal où, aujourd’hui, 80 % des pharmaciens peuvent vacciner », constate-t-il. Mais tous les pharmaciens ne sont pas favorables à la mesure. « Cela risque de compliquer nos relations avec les médecins », juge Gilles Bonnefond, président du syndicat USPO.

UNE RÉMUNÉRATION NON ENCORE FINALISÉE

La question, évidement cruciale, n’a pas encore été tranchée. « Dans les autres pays où cela été mis en place, la rémunération tourne autour de 10 € par vaccination », indique Philippe Besset. Les infirmières qui, depuis 2008, ont obtenu le droit de vacciner directement contre la grippe, ont une rémunération variable. « Pour une vaccination anti-grippale, on touche 6,30 €. Pour les autres vaccins, c’est 3,15 € », précise Annick Touba.
Un généraliste, qui reçoit un patient pour un vaccin, est payé comme pour une consultation classique, soit 23 €. « Mais dans les deux tiers des cas, on fait le vaccin au détour d’une consultation pour un autre motif. Et dans ce cas, on ne fait pas payer le patient deux fois », affirme le docteur Leicher